Le jeu sur lequel je travaillais il y a deux ans au sein du studio de développement Creative Patterns va enfin sortir. Vous admirerez le design élégant et raffiné de l'hôpital qui donne son nom au jeu…
mercredi 28 avril 2010
mardi 27 avril 2010
Imprononçables
Voici la version définitive — promis, juré j'y touche plus et j'arrête de pinailler — de notre affiche de théâtre. Accouchement dans la douleur, c'est toujours TRÈS compliqué de réaliser un visuel pour un évènement dont on est partie prenante…
vendredi 23 avril 2010
Twittie
Ce dessin illustrera l'édito du Courrier du Club de la Presse Languedoc-Roussillon, notre fédération de journalistes. Sortie prévue fin avril…
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dessin de presse
mercredi 21 avril 2010
mardi 20 avril 2010
lundi 19 avril 2010
Xinhua
Cette semaine aussi, je suis publié dans le numéro hebdomadaire de Bakchich. Et je suis bien content. Au programme, un p'tit dessin pour illustre un artcile sur « l'agence de presse » chinoise Xinhua et ses nombreux reporters/agents de renseignement.
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dessin de presse
jeudi 15 avril 2010
mardi 13 avril 2010
That's what I do…
J'ai l'immense honneur d'être publié dans le Bakchich de cette semaine. Voilà qui ne va pas arranger mon arrogance naturelle ;-)
C’est la cavalcade au Grand Palais. Présidé par Jean-Paul Cluzel (l’ex directeur de Radio France), le Palais parisien renouvelle de vieilles coutumes (pas employées depuis 1957) : des concours de sauts de chevaux, auxquels le tout paris mondain pouvait assister, les 3 et 4 avril. Grandiose ? Hem, pas tout à fait. L’organisateur de la manifestation, la société Hermès, plus connue pour ses sacs et ses cravates que pour ses activités équestres, a au passage, escroqué l’association “Galops de Paris”. Qui porte plainte contre Hermès pour “contrefaçon”, “rupture abusive de pourparlers”, et “actes de parasitisme”.
En effet, ce n’est pas la boîte de luxe mais Anne Duhem, la présidente de “Galops de Paris” qui, il y a quatre ans avait eu l’idée du concours hippique. En ce temps là, Hermès rêvait encore d’un bal dansant. Aujourd’hui, il travaille en solo.
Pourtant, attachée au projet comme une huître à son rocher, Anne Duhem avait lancé tous les dés pour qu’il se réalise. Rencontres multiples avec les directeurs du Grand Palais ; sélection de prestataires techniques ; recherche de sponsors : entre Toyota et Hermès, elle choisit Hermès. Et imagine déjà détourner en obstacles tout l’univers du groupe (des ceintures, des montres, etc.), pour animer la scène. Le projet est écrit, dessiné et chroqué dans un petit carnet, que la jeune femme dépose aux responsables de l’entreprise. Puis, pour financer le tout, “Galops de Paris” demande 5 millions d’euros. Trop, sans doute, pour le DG d’Hermès. Jusqu’alors “très encourageant”, il lâche l’association. Mais file avec le butin d’idées. Moins le coût du ticket d’entrée, qu’Anne Duhem estimait à 20 euros, mais qui était de 110 euros. L’univers d’Hermès, ou l’art de récupérer les mondanités des autres.
C’est la cavalcade au Grand Palais. Présidé par Jean-Paul Cluzel (l’ex directeur de Radio France), le Palais parisien renouvelle de vieilles coutumes (pas employées depuis 1957) : des concours de sauts de chevaux, auxquels le tout paris mondain pouvait assister, les 3 et 4 avril. Grandiose ? Hem, pas tout à fait. L’organisateur de la manifestation, la société Hermès, plus connue pour ses sacs et ses cravates que pour ses activités équestres, a au passage, escroqué l’association “Galops de Paris”. Qui porte plainte contre Hermès pour “contrefaçon”, “rupture abusive de pourparlers”, et “actes de parasitisme”.
En effet, ce n’est pas la boîte de luxe mais Anne Duhem, la présidente de “Galops de Paris” qui, il y a quatre ans avait eu l’idée du concours hippique. En ce temps là, Hermès rêvait encore d’un bal dansant. Aujourd’hui, il travaille en solo.
Pourtant, attachée au projet comme une huître à son rocher, Anne Duhem avait lancé tous les dés pour qu’il se réalise. Rencontres multiples avec les directeurs du Grand Palais ; sélection de prestataires techniques ; recherche de sponsors : entre Toyota et Hermès, elle choisit Hermès. Et imagine déjà détourner en obstacles tout l’univers du groupe (des ceintures, des montres, etc.), pour animer la scène. Le projet est écrit, dessiné et chroqué dans un petit carnet, que la jeune femme dépose aux responsables de l’entreprise. Puis, pour financer le tout, “Galops de Paris” demande 5 millions d’euros. Trop, sans doute, pour le DG d’Hermès. Jusqu’alors “très encourageant”, il lâche l’association. Mais file avec le butin d’idées. Moins le coût du ticket d’entrée, qu’Anne Duhem estimait à 20 euros, mais qui était de 110 euros. L’univers d’Hermès, ou l’art de récupérer les mondanités des autres.
lundi 12 avril 2010
vendredi 9 avril 2010
(meryl) Strip
Un ptit strip comme avant-goût. Je prépare une histoire en quatre planche. L'univers sera le polar… Ouais, même si pas forcément flagrant là !
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BD
mercredi 7 avril 2010
lundi 5 avril 2010
jeudi 1 avril 2010
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